nom, prénom : ellie rojas, la sœur de l'autre mr leho.
âge : 19 yo.
date, lieu de naissance : italie, au mois de janvier.
études, métier : les études, ça te concerne pas. ni le boulot, tu débarques tout juste prend le temps de respirer.
statut : libre comme l'air, mais pas intéressé.

ellie c'est à la fois la simplicité mais dans toute sa complexité. tu ne sais jamais si elle va se mettre à te gueuler dessus, ou simplement à te prendre dans ses bras pour te montrer son amour. tu ne peux pas savoir non plus si elle va te coller son poing à la figure, ou tout simplement s'enfuir. ellie, c'est l'exemple d'un comportement majoritairement contraire. soit elle est heureuse, soit elle est malheureuse. y'a pas de milieu. sauf qu'elle a un très gros caractère, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et elle n'oublie rien. quand elle a un truc en tête, il n'en ressort pas tant et aussi longtemps qu'elle n'a pas agis pour s'en débarrasser. le genre de fille à agir sur des coups de tête ? c'est ellie. elle ne regrette toutefois jamais rien, et assume ses actes. elle est un peu je-m'en-foutisme, qui n'accorde pas d'importance aux petites choses de la vie. elle se cache derrière une carapace, pour cacher sa tristesse et son désespoir. elle fait semblant d'être forte, alors qu'elle pourrait craquer du jour au lendemain et tout plaquer. ellie a un grand coeur, mais pardonne très difficilement. on lui fais facilement confiance, mais n'accorde que très rarement la sienne. ellie se sent vide, se laisse guider par ses idées plus ou moins dangereuses et cherche souvent les embrouilles. c'est sa façon à elle de se sentir vivante, de relever de nouveaux défis. ellie, c'est une nouvelle personne qui se cherche, mais qui n'espère pas se trouver. elle a passé de la petite fille responsable, à la fille qui ne se soucie de rien. qui vit au jour le jour, sans se soucier du passé ni du futur.

i refuse to close my eyes. parce-que la vie ne m'a pas offert de père. parce qu'elle m'a enlevé mon seul frère et ma seule mère. parce que je n'ai jamais pu être un élève normal qui apprend. et parce que j'ai toujours appris à prendre soin de moi et des autres. parce que dernièrement, j'ai fuis. fuis pour oublier. fuis pour peut-être retrouver une partie de mon passé. parce que je ne suis pas prête. parce que peut-être que si, je le suis. mais non, je ne sais pas.

france.
il s'est envolé comme un oiseau de nuit pour un long voyage vers l'inconnu. il a déployé ses ailes vers le ciel en laissant derrière lui une petite sœur et une mère dans la pauvreté. dans la misère, en mode survie. il vous a laissé comme de vieux torchons que l'on oublie dans le tiroir du bas. un tiroir qu'il a fermé à clé pour y cacher les vieux souvenirs du passé. un tiroir avec lequel tu t'est battu durant plusieurs années pour ne pas finir par l'ouvrir. l'abandon. l'oublie. la force et la tristesse. plusieurs années à te demander pourquoi et comment ? mais où ? et avec qui ? des tas de questions que tu n'as jamais voulu en trouver les réponses. c'est ta mère qui en a plus souffert. c'est elle qui s'est effondrée sous le poids du temps, et de l'ennui, l’inquiétude. malgré les lettres et les photos, elle n'a jamais pu accepter le départ de son fils. tant d'efforts à le faire vivre, à le protéger. pour finalement s'en aller. la mère a lâché prise, a perdu du poids et a tombée malade. malade pour son fils. malade pour son abandon. malade pour toujours. et toi, tu te questionnais encore et toujours. sans arrêt, à te demander si tu dois lui dire. si tu dois lui demander de l'aide. mais tu ne l'a pas fais. tu as agis pour le mieux et t'as pris ton courage à deux mains pour soigner ta mère. t'as décroché un emploi dans une boite privée. un emploi comme ta mère avait. mais qui ne pouvait plus l'assurer. t,as fais du fric, t,as donné tout ce que tu avais pour vous faire vivre. et puis elle t'as quitté elle aussi. elle t'a laissé à toi-même, et aux lettres de ton frère qui se faisait de plus en plus silencieuse. là-haut, elle vous voit. éloigné l'un de l'autre, de là-haut, elle sait où tu es. maintenant, je sais où tu es, et moi aussi j'y suis.

amsterdam.
une nouvelle vie. un nouveau départ. mais avec autant d’inquiétude. cette ville t'effraies, ces habitants t'effraies. sa réaction te fou les jetons, mais c'est trop tard. t'es debout avec tes valises devant l’aéroport et tu gueules pour un taxi. l'aventure commence, mais par où ? tu l'ignores.

dernièrement, vous. amélie, antivist, 19 yo, québécoise de pure souche, un peu dingue sur les bords. vous m'intimidez avec vos belles plumes, mais sinon, j'adore le fow, le contexte, le nom itout.

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magdalena zalejska → ellie rojas

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