lien avec : nora swaan

un choc. deux regards qui se croisent. une rage qui s'assemble. une particule universelle. deux sourires partagés, de ces sourires arrogants, de ces sourires qui vous engagent dans la promesse d'un futur plus beau, plus fort, différent. la différence pousse à toutes les folies, des plus extravagantes aux plus raisonnables. entre ces deux corps, seule l'extravagance est parvenu à se nicher, d'une subtilité maître, réduisant peu à peu leurs deux souffles en un seul, comme l'on assemblerait avec minutie, deux pièces d'un même puzzle, deux pièces destinés à se rencontrer, à s'unir dans la plus provocatrice des spirales. l'enfer d'un passé commun, l'enfer du mensonge de l'existence humaine, des désillusions mortelles dont s’abreuvent chaque jour les hommes, et leurs espoirs infondés. jamais une telle puissance ne s'entrechoqua en un même lieu.
elle. lui. cela paraît comme une évidence, un espoir réaliste. à eux deux, ils se nourrissent de la détresse de l'un et de l'autre, les enfermant le temps de quelques instants dans cette boîte où rugis la mort de tout un chacun. dans une danse de la liberté, dans une dernière tirade, ils se sont réunis. ils ont provoqués la chute de ce monde, alliant leurs deux amertumes, leurs deux cœurs brisés. ils ne sont pas fait pour se parler de l'amour, ils ne sont pas fait pour jouer les jeunes couples, ils ne sont pas fait pour nager dans la facilité. eux deux, ces deux êtres sont réunis afin de terrasser leur souffrance, ensemble. ils ne le savent pas. ils songent à une simple soirée, quelques danses, quelques bières, quelques pas près d'un lit, et le chuchotement de leurs corps s'alliant dans la pénombre. tels deux boules de laves lancés à pleine puissance, il paraît impossible de les stopper, l'un comme l'autre. mais, dis t-on, le mal se guérit par le mal. aussi, leurs raisons évanouis osent t-elles penser que la fin est loin, que ce n'est que le commencement. on pourrait croire leur relation purement sexuelle. ils ne sont que hargne, rage, et espoir, en un sens si peu exagéré. ils emmerdent le monde, ils vivent dans une bulle. ils baisent. ils boivent. ils se confondent en des engrenages infernaux n'en finissant pas de se dérouler. à eux deux, ils sont les maîtres du monde. des putains de rois, qui n'hésitent pas à tous détruire sur leur passage. de tous leurs corps d'un soir, celui-ci s'éternise inlassablement. à croire qu'ils ne peuvent pas se quitter, oser changer de cap, évoluer. ils s’accrochent l'un à l'autre, se rassemblent de par leur haine pour la vie, leur amour pour le mal. pas de blanc et de noir fusionnant. ni de soleil et de lune. ni d'obscurité et de lumière. il n'est question que de ténèbres, de puissants de ténèbres en prise au désespoir. ce ne sont que des jeunes, des jeunes qui disent profiter de la vie, mais qui ne font que s’étaler de tout leur long dans celle-ci.

heeey p'tit chanceux   
avoue, avoue, tu peux plus te passer de ce lieu de folie ?   allez viens t'inscrire, qu'on fasse des millions de bébés     toi qui lis ce lien qui me tient très à cœur, j'taime déjà tu sais ?   je demande rien de spécial, simplement une personne qui ne joue pas les fantômes, et qui écrit sans faire des fautes à tous les mots   pour ce qui est du reste, libre à toi mon ange   le pseudo est tout à fait libre, l'avatar aussi -même si je vois pour ce personnage-ci un mec tatoué, aux airs de bad boy, de rebelle qui n'en as rien à foutre du monde-, fais toi plaisir tant que cela colle à ce qu'il est écrit dans le lien   bien sûr, je prévois pleins de jolies choses pour nos deux bouilles, une évolution que l'on tissera ensemble   j'taime, j'taime, j'taime si tu optes pour ce lien, pis pense à ce temple en chocolat, en or, en cacahuètes, en cookies, tes désirs sont des ordres et... je t'attends mon chou, bouge toi de t'inscrire   au fait, si tu as une seule question, hésites pas à me harceler