lien avec : elies kane

ils étaient meilleurs amis, un peu plus, et puis, c'était beau, eux deux, à manchester. elle était le rêve du soleil comme de la nuit, elle était l'ailleurs, l'autrement, et il l'aimait. puis un jour, sa mère à lui, elle l'a frappée, la petite poupée ; sa petite poupée. elle l'a brisée. et elies, il l'a pas supporté, il pouvait pas la voir abîmée de la main de sa chair et de son sang. alors ils sont partis, ensemble, sur la route, deux gamins sans diplômes en poche, qui battaient le bitume main dans la main, corps contre corps. amis-amants, ils se sont jamais quittés, à aucun moment, et puis, un jour, elle est partie - c'était un oiseau libre, elle l'avait prévenu depuis longtemps, l'hirondelle. quatre printemps. puis plus rien. il l'a laissée, il a jamais cherché à la retrouver ; il savait qu'elle le voulait pas. et lui, il est resté là où elle l'avait abandonné : à amsterdam.  

coucou vous.
bon, j'ai pas trop trop d'attentes, finalement, si ce n'est l'orthographe. la présence, tant que vous me faites savoir que vous êtes en vie, c'est bon, et puis, pour l'avatar, vous faites ce que vous voulez. le lien n'est pas modifiable ou presque, pour ça, il faudra en parler ensemble. enfin voilà, j'ai pas envie de faire le tortionnaire, le lien est simple, et je vous aimerais tellement si vous le preniez parce que ça laisserait tellement d'opportunités. enfin voilà. merci déjà d'être venu jusque là, et je vous en supplie :
craquez.